1 an déjà : ce que nous apprend la pandémie du covid ? L'avenir : corne d'abondance ou collapsus ?
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1 an déjà : ce que nous apprend la pandémie du covid ? L'avenir : corne d'abondance ou collapsus ?
1 an déjà : ce que nous apprend la pandémie du covid ?
La maltraitance généralisée mondiale, serait ma réponse.
Maltraitance du monde minéral : extraction des réserves fossiles sans aucun respect de l’environnement, extraction des terres rares au mépris des équilibres, et des travailleurs, gaspillage et pollution de l’eau, etc…
Maltraitance du monde végétal : déforestation massive, épandages de produits toxiques, réduction des surfaces cultivables par l’urbanisation, etc…
Maltraitance du monde animal : élevage dans un environnement concentrationnaire, surconsommation des espèces au point de leur disparition, diminution de leur zone réservée, etc…
Maltraitance du monde humain : concentration des Favelas, des Township, des quartiers périurbains européens où « s’accumulent » les « laissés pour compte », des concentrations de vieux en EPHAD, abandon des populations à leur triste sort dans de nombreux continents : Afrique, Amérique, Asie, Arctique, etc…
Bref tout ce qu’il faut pour rompre cette fameuse barrière d’espèce qui nous mettrait à l’abri et l’émergence de virus qui ne demande qu’à vivre et se reproduire, cet élan vital qui nous définit tous : naître, se reproduire, mourir…
1 an après : que pouvons-nous faire ?
Une autre organisation sociétale, serait ma réponse.
Non pas une révolution mais une évolution. Jusqu’à maintenant le modèle prédominant, après l’échec du communisme et l’exclusion de la dictature c’est un capitalisme « démocratique ». Une société qui prône comme modèle du bonheur la satisfaction élémentaire de toutes envies pour peu qu’elles soient légales. J’ai dit légales, non légitimes.
Qu’elle est ce bonheur ? Il est dans la consommation, l’avoir, la domination (être en haut, être le premier, être au pouvoir)
Dans cette crise où l’avoir, la consommation, le pouvoir ne semblent plus satisfaire cette soif de bonheur on voit émerger une autre conscience de bonheur, un autre chemin. Et si être heureux n’était pas d’AVOIR mais d’ÊTRE
- Être entourée de personnes bienveillantes,
- Être à l’écoute des besoins des autres et leur apporter notre contribution
- Être à la maison, en famille, ou en collectivité réduite
- Être dans la préparation des repas pour les partager
- Être dans le contentement de ce que l’on possède
- Être dans la gratitude de ce que l’on reçoit chaque jour : une journée de vie supplémentaire, un sourire, un regard sur une fleur, un oiseau, une œuvre d’art, etc…
- Être dans l’espoir d’un idéal, des idées novatrices, d’organisations différentes, bref à l’écoute des autres avec bienveillance et dans l’entraide.
- Être dans le savoir qu’ensemble nous y arriverons.
Je vous propose d’écouter cette conférence de « Philippe BIHOUIX, ingénieur centralien et spécialiste des ressources non renouvelables, balaye les promesses d’un monde technologique meilleur, d’abondance et de bonheur pour tous, du rêve d’énergies propres qui ne tiennent pas compte des limites de notre planète “fatiguée”. L’auteur du livre “Le bonheur était pour demain” esquisse des solutions moins naïves, que nous pouvons mettre en oeuvre dès maintenant. Les médias nous donnent des promesses de technologies toujours meilleures : progrès du numérique, smart-city, hyperloop avec Elon MUSK, conquête spatiale avec Jeff BEZOS, minage des astéroïdes, techno-esclaves grâce aux machines (robots, voitures autonomes), promesses trans-humanistes.... On nous promet un futur radieux. Mais ces promesses se heurtent à une autre réalité : problème climatique, effondrement de la biodiversité, ressources non renouvelables, pic de pétrole jusqu’à un point ou certaines personnes prédisent un effondrement de la civilisation industrielle. Alors, va-t-on vers un monde d’abondance ou un monde de pénurie ? Le développement est-il infini ? Ou va-t-il y avoir un effondrement ? Le débat est lancé ! »
La maltraitance généralisée mondiale, serait ma réponse.
Maltraitance du monde minéral : extraction des réserves fossiles sans aucun respect de l’environnement, extraction des terres rares au mépris des équilibres, et des travailleurs, gaspillage et pollution de l’eau, etc…
Maltraitance du monde végétal : déforestation massive, épandages de produits toxiques, réduction des surfaces cultivables par l’urbanisation, etc…
Maltraitance du monde animal : élevage dans un environnement concentrationnaire, surconsommation des espèces au point de leur disparition, diminution de leur zone réservée, etc…
Maltraitance du monde humain : concentration des Favelas, des Township, des quartiers périurbains européens où « s’accumulent » les « laissés pour compte », des concentrations de vieux en EPHAD, abandon des populations à leur triste sort dans de nombreux continents : Afrique, Amérique, Asie, Arctique, etc…
Bref tout ce qu’il faut pour rompre cette fameuse barrière d’espèce qui nous mettrait à l’abri et l’émergence de virus qui ne demande qu’à vivre et se reproduire, cet élan vital qui nous définit tous : naître, se reproduire, mourir…
1 an après : que pouvons-nous faire ?
Une autre organisation sociétale, serait ma réponse.
Non pas une révolution mais une évolution. Jusqu’à maintenant le modèle prédominant, après l’échec du communisme et l’exclusion de la dictature c’est un capitalisme « démocratique ». Une société qui prône comme modèle du bonheur la satisfaction élémentaire de toutes envies pour peu qu’elles soient légales. J’ai dit légales, non légitimes.
Qu’elle est ce bonheur ? Il est dans la consommation, l’avoir, la domination (être en haut, être le premier, être au pouvoir)
Dans cette crise où l’avoir, la consommation, le pouvoir ne semblent plus satisfaire cette soif de bonheur on voit émerger une autre conscience de bonheur, un autre chemin. Et si être heureux n’était pas d’AVOIR mais d’ÊTRE
- Être entourée de personnes bienveillantes,
- Être à l’écoute des besoins des autres et leur apporter notre contribution
- Être à la maison, en famille, ou en collectivité réduite
- Être dans la préparation des repas pour les partager
- Être dans le contentement de ce que l’on possède
- Être dans la gratitude de ce que l’on reçoit chaque jour : une journée de vie supplémentaire, un sourire, un regard sur une fleur, un oiseau, une œuvre d’art, etc…
- Être dans l’espoir d’un idéal, des idées novatrices, d’organisations différentes, bref à l’écoute des autres avec bienveillance et dans l’entraide.
- Être dans le savoir qu’ensemble nous y arriverons.
Je vous propose d’écouter cette conférence de « Philippe BIHOUIX, ingénieur centralien et spécialiste des ressources non renouvelables, balaye les promesses d’un monde technologique meilleur, d’abondance et de bonheur pour tous, du rêve d’énergies propres qui ne tiennent pas compte des limites de notre planète “fatiguée”. L’auteur du livre “Le bonheur était pour demain” esquisse des solutions moins naïves, que nous pouvons mettre en oeuvre dès maintenant. Les médias nous donnent des promesses de technologies toujours meilleures : progrès du numérique, smart-city, hyperloop avec Elon MUSK, conquête spatiale avec Jeff BEZOS, minage des astéroïdes, techno-esclaves grâce aux machines (robots, voitures autonomes), promesses trans-humanistes.... On nous promet un futur radieux. Mais ces promesses se heurtent à une autre réalité : problème climatique, effondrement de la biodiversité, ressources non renouvelables, pic de pétrole jusqu’à un point ou certaines personnes prédisent un effondrement de la civilisation industrielle. Alors, va-t-on vers un monde d’abondance ou un monde de pénurie ? Le développement est-il infini ? Ou va-t-il y avoir un effondrement ? Le débat est lancé ! »
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