billet d'humeur Bolsonaro ou le dernier "match" Brésil-France

Bolsonaro ou ce que dit le dernier « match Brésil-France »
Au-delà du spectacle de psychologie de cours de récréation niveau maternelle, début primaire qu’il nous donne à voir, ce personnage ne se rend même pas compte qu’il se discrédite complétement. Comment faire passer son ego avant quand son grand pays (le Brésil 8ème puissance économique mondial, un peuple attachant et à l’histoire fabuleuse) est en feu et détient peut-être une partie de l’avenir de notre humanité dans ses mains.
Il refuse l’aide qui est apportée sans contre partie parce que on l’a traité de « menteur ». Qu’il nous prouve le contraire en s’attelant à la tâche. Peut-on s’imaginer qu’un tel personnage démontre ainsi l’étendue de ses capacités à gouverner. Pauvres humains que nous sommes incapables de porter au pouvoir les plus intelligents d’entre nous mais seulement ceux dont les instincts de domination, sexe, argent sont les plus démesurés.
N’avons nous pas ce que nous méritons ? Des progrès techniques magnifiques qui nous permettraient de résoudre les défis auxquels nous nous trouvons confrontés et nous les utilisons pour nous faire la guerre tout cela pour que certains d’entre nous puissent avoir plus d’argent qu’ils ne pourront pas emporter outre-tombe, personnages en quête d’immortalité mais s’engouffrant dans l’immoralité dont un jeune enfant ou même un primate ressentirait l’injustice. Pauvre Bolsonaro malade de son “Bug humain”cf livre de Sébastien Bohler même l’avenir ne retiendra pas son nom car il nous fabrique un « no future ».

Dans ce livre, l'auteur analyse la crise écologique massive générée par l'humanité au travers du prisme des neurosciences. Selon lui, les processus de destruction de l'environnement s’expliquent en grande partie par des mécanismes cérébraux archaïques : le striatum, notamment, et les circuits neuronaux de récompense, qui par le biais de la dopamine, incitent l'homme à assouvir continuellement et exponentiellement 5 besoin fondamentaux : manger, se reproduire, asseoir du pouvoir, acquérir de l'information, et fournir le moindre effort.

L'auteur évoque ensuite le rôle du cortex préfrontal, qui permet au contraire au cerveau de planifier, prendre du recul par rapport à ces injonctions de l'instant. Ce qui lui permet d'exposer les possibles contrepoids à ces déterminismes : l'éducation (valoriser les comportements écologiques) et la méditation pleine conscience

Merci pour votre réponse connectez vous (cliquez sur connexion et insérez mot de passe et nom d’utilisateur) puis cliquez sur “répondre “ pour vous inscrire sur le forum où tout autre question envoyez un mail : muriel.bercez@gmail.com

Bolsonaro a succédé au pouvoir à des gens qui, à ma connaissance, avaient oeuvré à développer l'économie du Brésil mais qui, dans le même temps, s'étaient goinfrés sur le dos de la société pétrolière d'Etat Petrobras.

Ne peut-on être un homme ou une femme politique sans être corrompu ? A quand un général De Gaulle pour le Brésil ?