C'est la guerre ! (une "drôle" de guerre)
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C'est la guerre ! (une "drôle" de guerre)
C’est la guerre ! Quelle « drôle de guerre »
Mes grands parents maternels habitaient Dunkerque. Ils tenaient en centre-ville un magasin de « coiffeur-parfumeur ». En 39 un soir ils ont quitté leur maison en urgence avec leurs 3 enfants en voiture pour se réfugier quelques kilomètres plus loin à Wormhout «les allemands arrivaient »... Le lendemain matin mon grand-père seul est retourné pour chercher des affaires une fois la voiture vide. Il est rentré 5 ans plus tard… La maison avait été bombardée dans la nuit, il ne restait rien. Il avait été fait prisonnier dès son entrée dans la poche de Dunkerque et sa voiture confisquée. Au retour sa femme avait tenté de faire fonctionner la boutique en coiffant les dames (teintures, mise en plis). Une de ces filles était grabataire : la panique avait déclenché une crise de « folie » traitée par électrochocs et coma hypoglycémique insulinique (c’était la guerre). Résultat un cerveau « grillé » et un « enfant légume » qui les accompagnera, alitée, pendant 50 ans.
Mon grand-père paternel (décalage de génération oblige) fut 8 ans militaire. Au service militaire dès 18 ans (plusieurs années à l’époque), il fut mobilisé en 1914. Il a fait « Verdun » où il a été gazé puis « les Dardanelles ». Rentré il s’est marié et a été embauché comme contre maître dans « l’Usinor de Valenciennes de l’époque ».4 ans plus tard une explosion dans un haut fourneau il est appelé en urgence. Dans la nuit rentrant chez lui le soir en vélo, c’est l’hiver, il prend froid et meurt d’une pneumonie laissant ma grand-mère et 2 enfants mon père 4 ans et son frère quelques mois. Heureusement il laisse en héritage une petite ferme à sa femme qui l’exploite et se fait embaucher en plus comme postière (elle avait son certificat).
Cela lui a permis de passer la guerre « 40 » plus facilement elle vivait à la campagne en auto suffisance.
Mes parents eux étaient étudiants et se sont connus durant cette période, il n’ont pas été mobilisés.
Pour mon arrière-grand-mère (morte dans sa 100ème année) la guerre c’était en 14 (juste née après celle de 70) elle était française mais de langue flamande (elle n’appris)t le Français qu’à l’école obligatoire où elle avait interdiction de s’exprimer dans son « patois »). Elle vivait à la frontière belge. Elle était maraîchère et à l’invasion des troupes allemandes en 14 elle s’est réfugiée aux environ de Calais pour travailler dans les champs.
En 40 elle travaillait seule dans son exploitation, son premier mari était décédé suite à une ruade du cheval la laissant veuve avec 2 enfants et son deuxième mari était impotent s’étant « brisé les reins » en chutant dans un puits (creusé sans margelle) ils habitaient près d’un canal. Il fallait irriguer les cultures (terre de sable) (nous avons connu sa maison car chaque année elle réunissait tous les cousins pour un repas, mémorable pour nous).
Donc quand on parle de guerre pour moi cela fait remonter à la surface tous ces souvenirs transmis.
Ce jour dans cette « guerre » je ne manque de rien. Nous avons à manger, de quoi nous chauffer. On peut se laver, bavarder avec ses proches en vision conférence, être informé de tout et de tous en temps réel. En plus vu notre âge (70 ans) on a eu le temps de vivre heureux, de fonder une famille, de travailler facilement, d’être épargné par les conflits. Et chance extraordinaire dans cette guerre elle semble épargner nos enfants (45 ans pour les plus vieux) peu touchés par cette virose, quant aux petits enfants ils sont à l’abri de toutes formes graves, donc on n’a pas peur pour ses proches : les plus vieux sont déjà partis.
Vous comprendrez que si ce confinement c’est une guerre, cela n’a surement rien à voir avec « la guerre » telle que nos anciens l’ont vécue ni avec celles que vivent les autres régions du monde je pense au Proche 0rient ou l’Afrique et je ne voudrais pas que l’on oublie ces populations qui demandent toute notre empathie, ni tous ces réfugiés dont on comprend la douleur et les difficultés. En plus ces circonstances nous montrent qu’ils ne sont en rien les vecteurs d’épidémie que nous ne saurions maîtriser; Ne soyons pas trop nombrilistes, les pays développés ne risquent que 3% (et probablement bien moindre des infectés), c’est toujours trop même une personne mais cela ne doit occulter le reste de l’humanité et nous « y pencher » sérieusement une fois le « conflit » passé. Pourrons-nous les laisser mourir de faim ou continuer à leur vendre des armes pour s’entretuer en corrompant leurs gouvernements pour nous attribuer les richesses de leurs sols et sous-sols ?
Donc vivez heureux votre confinement pour vous protéger et protéger les autres. Profitez de tout ce temps pour réfléchir aux valeurs qui vont vous faire vivre (être ou avoir ?). N’oubliez pas les « linceuls n’ont pas de poches » et la terre « Gaïa » c’est ce qu’il y a de plus précieux, chérissez-la, préservez la c’est la seule « chose » durable que vous transmettrez afin que vivent les générations futures sans être confinées parce que nous l’aurions tellement polluée que la vie serait impossible à certains endroits. D’autre part moins nous respecterons l’écologie et plus les épidémies nouvelles surviendront car le contact entre la nature et l’industrialisation nécessitant la déforestation rompra l’équilibre de la barrière d’espèce et l’humanité risque d’y passer lors de la prochaine attaque (un virus Ebola (mortalité moyenne 50% - de 20 à 90% selon les cas) aussi contagieux qu’un Coronavirus (mortalité inférieure à 3% des infectés et probablement beaucoup moindre (0,3%) si on arrive à dépister tout le monde).
Bon courage à tous et n’oubliez pas « ne sortez pas, même masqué » vous n’êtes pas Zorro.
Mes grands parents maternels habitaient Dunkerque. Ils tenaient en centre-ville un magasin de « coiffeur-parfumeur ». En 39 un soir ils ont quitté leur maison en urgence avec leurs 3 enfants en voiture pour se réfugier quelques kilomètres plus loin à Wormhout «les allemands arrivaient »... Le lendemain matin mon grand-père seul est retourné pour chercher des affaires une fois la voiture vide. Il est rentré 5 ans plus tard… La maison avait été bombardée dans la nuit, il ne restait rien. Il avait été fait prisonnier dès son entrée dans la poche de Dunkerque et sa voiture confisquée. Au retour sa femme avait tenté de faire fonctionner la boutique en coiffant les dames (teintures, mise en plis). Une de ces filles était grabataire : la panique avait déclenché une crise de « folie » traitée par électrochocs et coma hypoglycémique insulinique (c’était la guerre). Résultat un cerveau « grillé » et un « enfant légume » qui les accompagnera, alitée, pendant 50 ans.
Mon grand-père paternel (décalage de génération oblige) fut 8 ans militaire. Au service militaire dès 18 ans (plusieurs années à l’époque), il fut mobilisé en 1914. Il a fait « Verdun » où il a été gazé puis « les Dardanelles ». Rentré il s’est marié et a été embauché comme contre maître dans « l’Usinor de Valenciennes de l’époque ».4 ans plus tard une explosion dans un haut fourneau il est appelé en urgence. Dans la nuit rentrant chez lui le soir en vélo, c’est l’hiver, il prend froid et meurt d’une pneumonie laissant ma grand-mère et 2 enfants mon père 4 ans et son frère quelques mois. Heureusement il laisse en héritage une petite ferme à sa femme qui l’exploite et se fait embaucher en plus comme postière (elle avait son certificat).
Cela lui a permis de passer la guerre « 40 » plus facilement elle vivait à la campagne en auto suffisance.
Mes parents eux étaient étudiants et se sont connus durant cette période, il n’ont pas été mobilisés.
Pour mon arrière-grand-mère (morte dans sa 100ème année) la guerre c’était en 14 (juste née après celle de 70) elle était française mais de langue flamande (elle n’appris)t le Français qu’à l’école obligatoire où elle avait interdiction de s’exprimer dans son « patois »). Elle vivait à la frontière belge. Elle était maraîchère et à l’invasion des troupes allemandes en 14 elle s’est réfugiée aux environ de Calais pour travailler dans les champs.
En 40 elle travaillait seule dans son exploitation, son premier mari était décédé suite à une ruade du cheval la laissant veuve avec 2 enfants et son deuxième mari était impotent s’étant « brisé les reins » en chutant dans un puits (creusé sans margelle) ils habitaient près d’un canal. Il fallait irriguer les cultures (terre de sable) (nous avons connu sa maison car chaque année elle réunissait tous les cousins pour un repas, mémorable pour nous).
Donc quand on parle de guerre pour moi cela fait remonter à la surface tous ces souvenirs transmis.
Ce jour dans cette « guerre » je ne manque de rien. Nous avons à manger, de quoi nous chauffer. On peut se laver, bavarder avec ses proches en vision conférence, être informé de tout et de tous en temps réel. En plus vu notre âge (70 ans) on a eu le temps de vivre heureux, de fonder une famille, de travailler facilement, d’être épargné par les conflits. Et chance extraordinaire dans cette guerre elle semble épargner nos enfants (45 ans pour les plus vieux) peu touchés par cette virose, quant aux petits enfants ils sont à l’abri de toutes formes graves, donc on n’a pas peur pour ses proches : les plus vieux sont déjà partis.
Vous comprendrez que si ce confinement c’est une guerre, cela n’a surement rien à voir avec « la guerre » telle que nos anciens l’ont vécue ni avec celles que vivent les autres régions du monde je pense au Proche 0rient ou l’Afrique et je ne voudrais pas que l’on oublie ces populations qui demandent toute notre empathie, ni tous ces réfugiés dont on comprend la douleur et les difficultés. En plus ces circonstances nous montrent qu’ils ne sont en rien les vecteurs d’épidémie que nous ne saurions maîtriser; Ne soyons pas trop nombrilistes, les pays développés ne risquent que 3% (et probablement bien moindre des infectés), c’est toujours trop même une personne mais cela ne doit occulter le reste de l’humanité et nous « y pencher » sérieusement une fois le « conflit » passé. Pourrons-nous les laisser mourir de faim ou continuer à leur vendre des armes pour s’entretuer en corrompant leurs gouvernements pour nous attribuer les richesses de leurs sols et sous-sols ?
Donc vivez heureux votre confinement pour vous protéger et protéger les autres. Profitez de tout ce temps pour réfléchir aux valeurs qui vont vous faire vivre (être ou avoir ?). N’oubliez pas les « linceuls n’ont pas de poches » et la terre « Gaïa » c’est ce qu’il y a de plus précieux, chérissez-la, préservez la c’est la seule « chose » durable que vous transmettrez afin que vivent les générations futures sans être confinées parce que nous l’aurions tellement polluée que la vie serait impossible à certains endroits. D’autre part moins nous respecterons l’écologie et plus les épidémies nouvelles surviendront car le contact entre la nature et l’industrialisation nécessitant la déforestation rompra l’équilibre de la barrière d’espèce et l’humanité risque d’y passer lors de la prochaine attaque (un virus Ebola (mortalité moyenne 50% - de 20 à 90% selon les cas) aussi contagieux qu’un Coronavirus (mortalité inférieure à 3% des infectés et probablement beaucoup moindre (0,3%) si on arrive à dépister tout le monde).
Bon courage à tous et n’oubliez pas « ne sortez pas, même masqué » vous n’êtes pas Zorro.
PatrickB- Messages : 670
Lieu : café de Calais (et d'ailleurs - déplacements)
Langues : Français (Langue maternelle) , Gb
Re: C'est la guerre ! (une "drôle" de guerre)
Merci, Patrick, pour cette bio et de rappeler certaines choses. Effectivement, le terme de guerre est sans aucun doute très exagéré. Même s'il faut respecter la douleur de ceux qui perdent un proche...
On revient aux fondamentaux : avoir un toit, pouvoir se nourrir, se chauffer, se soigner, avoir de l'eau, communiquer...On mesure toute l'importance d'internet et du smartphone, qui permettent de rester en lien malgré le confinement. Prendre plaisir à se retrouver entre humains, plutôt que de se combattre en permanence. Il y a désormais deux classes sociales : les gens qui sont exposés au virus et ceux qui peuvent s'isoler.
Respecter la nature, en commençant par soi-même.
Espérons que cette crise fasse réfléchir tout le monde, en particulier nos dirigeants. Gouverner, c'est prévoir, paraît-il. A la faveur de cette crise sanitaire, on voit bien que pas grand-chose n'avait été prévu, comme la capacité de tests, les masques ou les respirateurs.
En tout cas, le modèle français, avec l'Etat providence, amortit les chocs sur le plan social, et sur le plan des soins, c'est évident.
Comment ferons-nous pour rembourser cet amoncellement de nouvelles dettes ? Bah, comme d'habitude, entend-on de la part de certains experts. En principe, il faudra quand-même payer un jour, sous forme d'inflation, d'impôts, de travail...Qui vivra verra.
On revient aux fondamentaux : avoir un toit, pouvoir se nourrir, se chauffer, se soigner, avoir de l'eau, communiquer...On mesure toute l'importance d'internet et du smartphone, qui permettent de rester en lien malgré le confinement. Prendre plaisir à se retrouver entre humains, plutôt que de se combattre en permanence. Il y a désormais deux classes sociales : les gens qui sont exposés au virus et ceux qui peuvent s'isoler.
Respecter la nature, en commençant par soi-même.
Espérons que cette crise fasse réfléchir tout le monde, en particulier nos dirigeants. Gouverner, c'est prévoir, paraît-il. A la faveur de cette crise sanitaire, on voit bien que pas grand-chose n'avait été prévu, comme la capacité de tests, les masques ou les respirateurs.
En tout cas, le modèle français, avec l'Etat providence, amortit les chocs sur le plan social, et sur le plan des soins, c'est évident.
Comment ferons-nous pour rembourser cet amoncellement de nouvelles dettes ? Bah, comme d'habitude, entend-on de la part de certains experts. En principe, il faudra quand-même payer un jour, sous forme d'inflation, d'impôts, de travail...Qui vivra verra.
Remy- Messages : 3178
Lieu : Calais
Langues : Français (Langue maternelle), Gb
Re: C'est la guerre ! (une "drôle" de guerre)
Merci Rémi pour cette analyse (psy = pensée). C’est vrai cela permet de clarifier ses pensées, son ressenti et j’ai trouvé que tu es très brillant pour démêler cet écheveau par ta vision analytique du discours de l’ « autre » sans oublier l’empathie nécessaire au contenu. Une guerre c’est toujours des morts. Des êtres qui sont chers (qui nous sont « chair »). Leurs histoires sont pleines de soins et d’amour qu’ils ont reçus, qu’ils ont donnés. A la souffrance de la perte s’ajoute aujourd’hui la douleur de ne pouvoir les accompagner jusqu’au bout. Nous ne pensons pas assez que derrière les chiffres il y des visages, des personnes. Cela nous renvoie à la première fonction de l’état : protéger ses citoyens. Au sortir les interrogations seront multiples. Ne nous précipitons pas dans l’action mais prenons le temps de la réflexion pour savoir vers quoi nous allons aller ? avec qui pour nous guider ? Ne nous abandonnons pas au plus charismatique mais à ceux dont le projet reflète sa vie antérieures et intérieures. Les puissances financières vont de nouveau essayer de nous manipuler.
Qui a permis à la France d’être après la dernière guerre ? Peut-être De Gaule mais surement Jean Moulin et tous ces résistants qui ont œuvré dans l’ombre. Mais que sont-ils devenus ?
Nous avons vu que des "Papon" pouvaient accéder aux hautes sphères de l’Etat, que des entreprises qui s’étaient enrichies sous l’occupation ont continué leur croissance au nom du profit.
Il faudra bien veiller à ce que cette fois les « sans grades » ne soient pas oubliés et que les non visionnaires, les imprécautionneux fassent leur "mea culpa"
Qui a permis à la France d’être après la dernière guerre ? Peut-être De Gaule mais surement Jean Moulin et tous ces résistants qui ont œuvré dans l’ombre. Mais que sont-ils devenus ?
Nous avons vu que des "Papon" pouvaient accéder aux hautes sphères de l’Etat, que des entreprises qui s’étaient enrichies sous l’occupation ont continué leur croissance au nom du profit.
Il faudra bien veiller à ce que cette fois les « sans grades » ne soient pas oubliés et que les non visionnaires, les imprécautionneux fassent leur "mea culpa"
PatrickB- Messages : 670
Lieu : café de Calais (et d'ailleurs - déplacements)
Langues : Français (Langue maternelle) , Gb
Re: C'est la guerre ! (une "drôle" de guerre)
Oui. Un plan pour l'hôpital est enfin prévu. Espérons qu'il donnera satisfaction...Une plainte a été déposé par les soignants contre l'exécutif...
Les entreprises, elles, vont où il y a de l'argent à gagner; c'est aux politiques de les contraindre, à mon avis. Les capitaux font de même que les sociétés; ils se placent là où ça rapporte; mais là aussi les politiques doivent intervenir pour que nous retrouvions nos capacités de production stratégiques, dans tous les domaines où cela peut-être utile, y-compris ceux que l'on imagine pas encore.
Pour parer à toute éventualité, il serait bon, a priori, de regarder ce qui se passe ailleurs. Si nous avions considéré les soucis de l'Asie au moment du sras, on n'aurait pas été dépourvus aujourd'hui.
Il faut sans doute regarder aussi ce qui se passe en Afrique, avec la malaria, la dengue, etc...puisque avec le réchauffement climatique, nous aurons plus chaud en France.
Il faudrait peut-être aussi regarder ce que font les Chinois pour résoudre le problème du vieillissement de la population.
Imaginer les autres dangers, dans tous les domaines, et se préparer à tout. Certaines personnes doivent être capables d'étudier ça...mais c'est sans doute déjà sur les rails...
Les entreprises, elles, vont où il y a de l'argent à gagner; c'est aux politiques de les contraindre, à mon avis. Les capitaux font de même que les sociétés; ils se placent là où ça rapporte; mais là aussi les politiques doivent intervenir pour que nous retrouvions nos capacités de production stratégiques, dans tous les domaines où cela peut-être utile, y-compris ceux que l'on imagine pas encore.
Pour parer à toute éventualité, il serait bon, a priori, de regarder ce qui se passe ailleurs. Si nous avions considéré les soucis de l'Asie au moment du sras, on n'aurait pas été dépourvus aujourd'hui.
Il faut sans doute regarder aussi ce qui se passe en Afrique, avec la malaria, la dengue, etc...puisque avec le réchauffement climatique, nous aurons plus chaud en France.
Il faudrait peut-être aussi regarder ce que font les Chinois pour résoudre le problème du vieillissement de la population.
Imaginer les autres dangers, dans tous les domaines, et se préparer à tout. Certaines personnes doivent être capables d'étudier ça...mais c'est sans doute déjà sur les rails...
Remy- Messages : 3178
Lieu : Calais
Langues : Français (Langue maternelle), Gb
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